Synopsis
La disparition des lucioles propose une immersion dans les espaces ruraux à travers les œuvres de grands auteurs de bandes dessinées. En arpentant les routes d’une France rurale en mutation, ces artistes, à travers tout un univers de formes, témoignent des transformations profondes qui y sont actuellement à l’œuvre. De la Maurienne à la forêt des Vosges, en passant par les Pays de la Loire, la Normandie et l’Ardèche, ce documentaire trace d’un point à un autre une nouvelle cartographie des campagnes françaises.
Vincent Marie est titulaire d’un doctorat liant histoire et bande dessinée.
« Bulles d’exil », son premier documentaire, interroge les liens entre immigration et BD. Avec « Là où poussent les coquelicots », il explore l’imaginaire historique de la Grande Guerre. Il est aussi l’auteur d’un film sur la Retirada intitulé « Bartoli, le dessin pour mémoire » et encore de « Nos ombres d’Algérie », où des dessinateurs du neuvième art explorent, depuis la France, les mémoires de la guerre d’Algérie.
Le film invite à un voyage dans la ruralité française.
La Dépêche
Rencontres et échanges
En présence du producteur du film Laurent Segal
Laurent Segal se passionne très tôt pour le cinéma et réalise dès l’âge de 15 ans ses premiers films. Après avoir effectué son service militaire au sein de l’Établissement Cinématographique et Photographique des Armées, il crée en 1993 sa propre société : Kanari Films. Il réalise notamment « Le front oublié », « Chez Ali » ou bien encore « L’essentiel est de participer ». Depuis 2005, il se consacre essentiellement à la production de documentaires de création. Après « Là où poussent les coquelicots » et « Nos ombres d’Algérie », La disparition des lucioles marque la troisième collaboration entre Kanari Films et Vincent Marie.
